Crédit photo: ici.
Le premier film m'avait laissé un brin déçu, est-ce que 2 ans plus tard, jour pour jour, le deuxième a été à la hauteur des attentes? Ce qui est certain, c'est qu'il fait toujours autant plaisir de retrouver le fameux quatuor d'enfer! Et dans une séance affichant complet en avant-première, composée de 95% de femmes, 4% de gais et 1% d'hommes accompagnant leur femme, disons que la fashion-fébrilité était au rendez-vous!
On retrouve donc les 4 personnages, Miranda qui déteste son patron, Charlotte qui n'en peut plus de gérer ses 2 enfants, Carrie qui trouve que sa vie manque d'étincelles et Samantha qui est célibataire à New-York. Cette dernière trouve justement le moyen de se faire inviter dans un hôtel à Abu Dhabi, tous frais payés, et en profite pour que ses 3 acolytes fassent partie du voyage.
Du début à la fin, le glamour est au rendez-vous, et ce plus que jamais! La musique nous plonge dans l'univers, les somptueux décors et costumes d'inspiration moyen-orientale viennent compléter le tout. Vraiment, ils ont mis le paquet avec les costumes et ça paraît (1/10 du budget de 100 millions). Wow! Le scénario est assez 'plat' et sans grande surprise - surtout quand on a vu la bande-annonce - mais reste crédible, et j'ai passé un excellent moment malgré la VF et la durée du film (2h25).
Ce que je regrette? Encore une fois, l'absence du ton narratif qu'on retrouve dans la série mais qui est absent du film, les interrogations quand Carrie écrivait ses chroniques durant les 6 saisons, les fameux 'I couldn't help but wonder...', le ton plus personnel de la série. Le film reste davantage en superficie, mais au moins on retrouve une Samantha en très grande forme malgré la ménopause rattrapant son personnage. Fous rires garantis! A revoir (en VO pour moi), ne serait-ce que pour les décors et les costumes. Comme l'a dit mon homme: un film chocolat, et il a bien raison puisque c'est un très bon divertissement!
On retrouve donc les 4 personnages, Miranda qui déteste son patron, Charlotte qui n'en peut plus de gérer ses 2 enfants, Carrie qui trouve que sa vie manque d'étincelles et Samantha qui est célibataire à New-York. Cette dernière trouve justement le moyen de se faire inviter dans un hôtel à Abu Dhabi, tous frais payés, et en profite pour que ses 3 acolytes fassent partie du voyage.
Du début à la fin, le glamour est au rendez-vous, et ce plus que jamais! La musique nous plonge dans l'univers, les somptueux décors et costumes d'inspiration moyen-orientale viennent compléter le tout. Vraiment, ils ont mis le paquet avec les costumes et ça paraît (1/10 du budget de 100 millions). Wow! Le scénario est assez 'plat' et sans grande surprise - surtout quand on a vu la bande-annonce - mais reste crédible, et j'ai passé un excellent moment malgré la VF et la durée du film (2h25).
Ce que je regrette? Encore une fois, l'absence du ton narratif qu'on retrouve dans la série mais qui est absent du film, les interrogations quand Carrie écrivait ses chroniques durant les 6 saisons, les fameux 'I couldn't help but wonder...', le ton plus personnel de la série. Le film reste davantage en superficie, mais au moins on retrouve une Samantha en très grande forme malgré la ménopause rattrapant son personnage. Fous rires garantis! A revoir (en VO pour moi), ne serait-ce que pour les décors et les costumes. Comme l'a dit mon homme: un film chocolat, et il a bien raison puisque c'est un très bon divertissement!
4 commentaires:
Je n'ai pas suivi la série télé, ni celle sur Betty la laide, et je me méfie de tout ce qui est lié de près ou de loin avec McDo. Bon, c'est pas ma semaine. :-)
En tout cas, tu n'as pas peur de monter au front. Tous les articles que j'ai lus ou vu passer sur Sex & the City II l'ont taillé en pièces. :-D
Gilbert
C'est un des plaisirs de la vie des critiques, de démolir ce qu'ils voient... moi j'ai passé un bon moment de ciné et je n'ai pas peur de l'affirmer, peu importe ce que les autres en disent! :)
Il y a des semaines comme ça, faut pas s'en faire... j'ai vu sur ton blog que tu étais un peu énervé avec ces histoires d'Israël...
Un peu? Moi j'étais là en 67. Commence à en avoir marre moi aussi, et pas à peu près (tu liras Foglia d'aujourd'hui sam le 5). ;-)
G
Gilbert>> Oui, oui, j'ai lu Foglia et je suis d'accord avec le fait que critiquer les actions d'Israël ne fait pas de nous des antisémites! Pour ceux qui veulent lire la dite chronique: http://bit.ly/bZ1GKw
C'est bien connu, nous vivons dans une société de victimes... être victime permet de justifier l'injustifiable. Ce n'est pas parce qu'un noir ayant commis un délit et qui se fait ensuite arrêter pour le délit réalisé qu'il a été victime de racisme. Le raccourci est trop facile... et faux.
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