19.6.10

Clichés suédois

Cabine téléphonique - Stockholm

Bientôt une semaine que je suis en Suède - entre autres - pour le travail, j'ai enfin eu un peu de répit pour aller découvrir la capitale, Stockholm, avec mon homme. Une heure de train - très confortable! - plus tard, nous y étions. Effervescence aujourd'hui dans le grand Stockholm... les bus ne circulent pas, rues fermées, le métro est gratuit, policiers partout et population en liesse, petits drapeaux bleu et jaune à la main. La raison? La voici:

Eh oui! La princesse Victoria de Suède se marie avec Daniel Westling (son ancien coach sportif). A peine 20 minutes après notre arrivée en ville, qui ne croisons-nous pas? Lunettes de soleil au visage et sacs de shopping à la main, nous avons tout de même réussi à l'identifier... Bien entendu, le grand spécialiste des têtes couronnées - et animateur - Stéphane Bern!

Voici donc quelques photos supplémentaires de notre après-midi passée à se balader dans une foule parfois dense, dans la vieille ville. J'ai bien apprécié l'ambiance bon enfant et familiale qui régnait aujourd'hui, en plus du beau temps! Bien que la Monarchie, au Canada, ne soit qu'un concept qui laisse bien des gens indifférents, malgré le fait qu'il nous concerne toujours au jour d'aujourd'hui, j'ai trouvé 'amusant' de voir toutes les attentions portées au mariage royal d'aujourd'hui. Et puis après tout, la famille royale, c'est utile pour alimenter les ragots de la presse-people et les discutions dans les chaumières! Sur ce, voici les photos promises:


7.6.10

Je dois m'en aller... 1986 vs 2010


Niagara - Je dois m'en aller

Cette chanson de Niagara (1986) a été reprise il y a quelques semaines, 24 ans plus tard, lors de la sélection des candidats de la Nouvelle Star (la version française d'American Idol). Le trio formé par Luce, Lussi et Stéphanie est tout simplement époustouflant! D'habitude, je ne suis pas un grand fan de ce genre d'émission de télé-réalité, trouvant trop de conformisme dans les choix du jury (et du public...) lorsque vient le temps de retenir les finalistes (souvent l'usine à chanteuses à voix...). Et cette fois-ci, il faut dire qu'il y a des candidates talentueuses de haut calibre! Un beau moment... j'adore! A vous de juger... (pour ma part, je m'en vais nulle part, j'ai commencé mon nouveau boulot aujourd'hui!).


5.6.10

5 semaines plus tard...

http://www.etab.ac-caen.fr/margueritedenavarre/Contacts%20Liens/Images/telephone.jpg
Crédit photo: ici.

Cinq semaines se sont écoulées depuis que j'ai appris que mon statut d'étranger devait être régularisé avant que je puisse commencer à travailler. Un des nombreux aléas de la vie, dont je me serais bien passé soit dit en passant, mais que j'ai dû affronter, je dois l'avouer, sans toujours avoir le moral... Cinq semaines donc, c'est à la fois long et court quand on attend, à moitié impuissant, que le dossier soit traité. Ce que je retiens de cette aventure, c'est qu'il faut faire preuve 1. de patience, 2. d'acharnement et finalement - et non le moindre! - 3. d'astuce.

1. La patience: on sait que le dossier est envoyé, on ne sait pas quand il sera traité et surtout dans combien de temps la réponse arrivera. D'ici là, il faut attendre... sans trop psychoter ou angoisser (je ne me ronge pas les ongles, donc ça va).

2. L'acharnement: je ne compte plus le nombre d'appels que j'ai dû faire - parfois à moitié exaspéré - afin qu'on daigne me répondre, et ce à l'intérieur de plages horaires aussi courtes que le temps de prendre le lunch. Évidemment, tout le monde essaie d'appeler dans cette mince plage horaire, alors soit c'est occupé, soit ça ne répond pas.

3. L'astuce: pas de réponse au téléphone? Il faut alors appeler les collègues ou un service connexe, en espérant soutirer une adresse courriel ou alors le numéro de la ligne directe, en essayant de jouer du charme de l'accent québécois - sans oublier l'exaspération qui s'est accumulée à force d'acharnement à l'étape 2.

Bref, tout ça pour dire que j'en suis finalement venu à bout! Ma situation est régularisée, je peux enfin commencer à travailler lundi matin. Dernier week-end avant la signature de mon contrat et le début d'un nouvel emploi, de nouveaux défis. Comme le dis si bien Diane Dufresne quand on lui demande ce qu'elle fait dans la vie? Je fais mon possible!!!

2.6.10

Sex and the city II

http://www.i-actu.com/gresport/wp-content/uploads/2010/02/sex-and-the-city-2.jpg
Crédit photo: ici.

Le premier film m'avait laissé un brin déçu, est-ce que 2 ans plus tard, jour pour jour, le deuxième a été à la hauteur des attentes? Ce qui est certain, c'est qu'il fait toujours autant plaisir de retrouver le fameux quatuor d'enfer! Et dans une séance affichant complet en avant-première, composée de 95% de femmes, 4% de gais et 1% d'hommes accompagnant leur femme, disons que la fashion-fébrilité était au rendez-vous!

On retrouve donc les 4 personnages, Miranda qui déteste son patron, Charlotte qui n'en peut plus de gérer ses 2 enfants, Carrie qui trouve que sa vie manque d'étincelles et Samantha qui est célibataire à New-York. Cette dernière trouve justement le moyen de se faire inviter dans un hôtel à Abu Dhabi, tous frais payés, et en profite pour que ses 3 acolytes fassent partie du voyage.

Du début à la fin, le glamour est au rendez-vous, et ce plus que jamais! La musique nous plonge dans l'univers, les somptueux décors et costumes d'inspiration moyen-orientale viennent compléter le tout. Vraiment, ils ont mis le paquet avec les costumes et ça paraît (1/10 du budget de 100 millions). Wow! Le scénario est assez 'plat' et sans grande surprise - surtout quand on a vu la bande-annonce - mais reste crédible, et j'ai passé un excellent moment malgré la VF et la durée du film (2h25).

Ce que je regrette? Encore une fois, l'absence du ton narratif qu'on retrouve dans la série mais qui est absent du film, les interrogations quand Carrie écrivait ses chroniques durant les 6 saisons, les fameux 'I couldn't help but wonder...', le ton plus personnel de la série. Le film reste davantage en superficie, mais au moins on retrouve une Samantha en très grande forme malgré la ménopause rattrapant son personnage. Fous rires garantis! A revoir (en VO pour moi), ne serait-ce que pour les décors et les costumes. Comme l'a dit mon homme: un film chocolat, et il a bien raison puisque c'est un très bon divertissement!