Crédit photo: ici.
Cinq semaines se sont écoulées depuis que j'ai appris que mon statut d'étranger devait être régularisé avant que je puisse commencer à travailler. Un des nombreux aléas de la vie, dont je me serais bien passé soit dit en passant, mais que j'ai dû affronter, je dois l'avouer, sans toujours avoir le moral... Cinq semaines donc, c'est à la fois long et court quand on attend, à moitié impuissant, que le dossier soit traité. Ce que je retiens de cette aventure, c'est qu'il faut faire preuve 1. de patience, 2. d'acharnement et finalement - et non le moindre! - 3. d'astuce.
1. La patience: on sait que le dossier est envoyé, on ne sait pas quand il sera traité et surtout dans combien de temps la réponse arrivera. D'ici là, il faut attendre... sans trop psychoter ou angoisser (je ne me ronge pas les ongles, donc ça va).
2. L'acharnement: je ne compte plus le nombre d'appels que j'ai dû faire - parfois à moitié exaspéré - afin qu'on daigne me répondre, et ce à l'intérieur de plages horaires aussi courtes que le temps de prendre le lunch. Évidemment, tout le monde essaie d'appeler dans cette mince plage horaire, alors soit c'est occupé, soit ça ne répond pas.
3. L'astuce: pas de réponse au téléphone? Il faut alors appeler les collègues ou un service connexe, en espérant soutirer une adresse courriel ou alors le numéro de la ligne directe, en essayant de jouer du charme de l'accent québécois - sans oublier l'exaspération qui s'est accumulée à force d'acharnement à l'étape 2.
Bref, tout ça pour dire que j'en suis finalement venu à bout! Ma situation est régularisée, je peux enfin commencer à travailler lundi matin. Dernier week-end avant la signature de mon contrat et le début d'un nouvel emploi, de nouveaux défis. Comme le dis si bien Diane Dufresne quand on lui demande ce qu'elle fait dans la vie? Je fais mon possible!!!
1. La patience: on sait que le dossier est envoyé, on ne sait pas quand il sera traité et surtout dans combien de temps la réponse arrivera. D'ici là, il faut attendre... sans trop psychoter ou angoisser (je ne me ronge pas les ongles, donc ça va).
2. L'acharnement: je ne compte plus le nombre d'appels que j'ai dû faire - parfois à moitié exaspéré - afin qu'on daigne me répondre, et ce à l'intérieur de plages horaires aussi courtes que le temps de prendre le lunch. Évidemment, tout le monde essaie d'appeler dans cette mince plage horaire, alors soit c'est occupé, soit ça ne répond pas.
3. L'astuce: pas de réponse au téléphone? Il faut alors appeler les collègues ou un service connexe, en espérant soutirer une adresse courriel ou alors le numéro de la ligne directe, en essayant de jouer du charme de l'accent québécois - sans oublier l'exaspération qui s'est accumulée à force d'acharnement à l'étape 2.
Bref, tout ça pour dire que j'en suis finalement venu à bout! Ma situation est régularisée, je peux enfin commencer à travailler lundi matin. Dernier week-end avant la signature de mon contrat et le début d'un nouvel emploi, de nouveaux défis. Comme le dis si bien Diane Dufresne quand on lui demande ce qu'elle fait dans la vie? Je fais mon possible!!!
5 commentaires:
Content de t'avoir retrouvé et bonne route pour ce nouveau départ.
Hey, content de te retrouver moi aussi!! Merci pour les souhaits et à bientôt! Profite bien de tes vacances à Barcelone! ;) On veut des photos!
Eh ben! Tout ça pour ça! D'habitude on utilise cette expression quand les efforts mènent finalement à bien peu de choses mais ici ça serait plutôt comme dire que ça a pris tout ça pour en arriver là. Là étant bien sûr le couronnement. Le mérite en est d'autant plus grand que les aléas de la bureaucratie française sont bien connus. Bon règne au royaume de Valenciennes! :-D
Gilbert
Se battre avec l'administration, c'est quelque chose... Content que tu aies réussi !
Gilbert>> Merci! Début du travail demain matin, et déplacement en Suède prévu pour la semaine prochaine, juste à temps pour le Solstice d'été! 24 heures de soleil, ça promet hehe :)
Jonathan D.>> Très content moi aussi! Et soulagé! Il y a des victoires comme celles-là qui comptent pour beaucoup! Life goes on...
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